devoir de francais ^^'

lol voila le navet adaptation de (a vous de trouver)

Tout est bien qui fini bien

Il était une fois, une belle poule rousse qui aimait gambader dans la prairie. Sa communauté était tellement grande, que son maître créa quatre poulaillers, aux quatre coins de la prairie. Notre belle poule rousse, roussette de son prénom, vivait dans le poulailler de sa mère avec une dizaine de poules issue de la même couvée. Un jour d’été aride, la mère de roussette lui demanda de porter a la doyenne de la prairie un colis d’épluchure bien fraîche. Roussette parti donc de bonne heure car le poulailler de la doyenne était a l’autre bout de la prairie. Alors qu’elle n’était partie que depuis cinq minutes, un petit personnage vint a elle, c’était Wiskas le chat d’a coter. Il fut surpris de voir Roussette seul et lui demanda ce qu’elle faisait la. Elle raconta donc qu’elle était chargée d’apporter un colis à la doyenne de la prairie car c’était l’heure du repas et que cette dernière ne savait plus marcher de longue distance. Elle ajouta que la quinquagénaire restait souvent seule et qu’elle lui tiendra don compagnie. Wiskas qui avait un petit creux sauta sur l’occasion. Il parti donc vers le poulailler de la doyenne. Il eut fini à peine de déguster la volaille attendrie pas l’age qu’il entendit roussette picorer à la porte. Il ramassa quelque plume qu’il trouva par ci par là et alla s’installer dans le nid de la doyenne. Il posa les plumes sur son dos et dit d’une voit fluette : « entre mon enfant ». Roussette entra et vit la doyenne assis dans son nid. « Tiens donc de la nourriture » s’exclama Wiskas en faisant tomber quelques plumes qu’il avait posés sur son dos. La poulette qui n’en avait pas compris le sens hormis le sac d’épluchure qu’elle avait coincé sous l’aile avança vers Wiskas. Après quelques minutes de conversation Roussette se demanda pourquoi la doyenne avait de si grande pattes, aussi peu de plume, pourquoi elle de distinguait plus bien ça crête, pourquoi elle avait … DES DENTS. C’est a ce moment la que roussette compris ce qu’il c’étais passé, mais hélas elle comprit trop tard et a peine avait elle prononcé le mot dent que wiskas lui avait sauté dessus. Malgré quelques coup de griffes bien placé, notre félin de mit pas longtemps a terrasser son futur mets. Après quelques minutes gastronomique notre prédateur rassasié s’en alla trouver un coin à l’ombre pour roupiller

et de 2 (ecrit l'année passée encore une adaptation qu'on a du faire a partir du debut d'un texte ...)

pompier

Quand étant petit on me demandait :"que feras-tu quand tu seras grand ?", invariablement je répondais :"moi, je serai pompier".
Des dizaines de fois j'ai fait cette réponse, tant tout le monde en toute circonstance s'amusait à me poser la question. Et chaque fois c'est avec la même conviction et le même enthousiasme que je répondais.
Périodiquement les pompiers venant des alentours faisaient la tournée des maisons de vieux. Un chat dans un arbre, une bouilloire sur le feu oubliée. Les vieux faisaient marcher le "commerce".
Une sirène dans le lointain, une vive lueur bleu, nous annonçaient leurs arrivée. En s'approchant du lieu du drame ils nous criaient :"périmètre de sécurité" et malheureusement je ne pouvais pas voir grand-chose du haut de mais 1m20.
Ils s'occupaient aussi des nids de guêpes. Je parcourais donc les jardins en quête de ces si précieuses citées. Je connaissais maintenant toutes les étapes par cœur : évacuation des lieux, repérage de(s) nid(s), recherche des différentes entrées et sorties, gazage, et allumage. Et comme tout travaille mérite salaire la note repartait souvent à mes parents qui ne laissait rien passer et en profitaient pour m'enguirlander.
A chaque apparition je restais bouche bée. Le gros mastodonte peint de rouge équipé de lance à eau, hache,… les pompiers vêtus d'uniforme noir, casque couleur or et parfois en combinaison anti-chaleur.
Béat, j'admirais leurs camions, leurs équipements, leurs techniques,…
Pas étonnant qu'à la vision de chacune de ses apparitions, ma vocation s'ancre toujours plus profondément.